Je ne veux plus guérir !

Si vous me connaissez depuis le moment où je suis tombée malade, à la lecture de ce titre, vous allez sûrement vous dire « allons bon, v’la autre chose ! Après nous avoir bassinées avec sa guérison, elle ne veut plus guérir ? » mdr

Il faut dire que, pendant plus de trois ans, je n’ai eu qu’une « obsession », si je puis dire : GUÉRIR de la myasthénie. En effet, j’étais encore à l’hôpital, en août 2011, quand je me suis lancée le défi de guérir. C’était pour moi une évidence. Et si j’avais conscience que la maladie était là pour une bonne raison et qu’il me fallait entamer un véritable chemin de transformation, j’avoue que je ne pensais pas que ce chemin serait si long. Enfin, quand je dis « long », bien sûr, tout est relatif et mettre quatre, cinq ou même dix ans pour guérir, ce n’est rien du tout comparé à toute une vie avec la maladie, puisque c’est ce que nous disent les médecins, dans la mesure où la myasthénie est considérée comme incurable. Mais disons que, dans mon esprit, j’allais être guérie plus rapidement.

MON PREMIER OBJECTIF A ÉTÉ DE VISER LA GUÉRISON

Preuve de ma foi sans faille en mon objectif, à peine sortie de l’hôpital et capable de passer un peu de temps devant l’ordinateur, je me suis lancée, sur le forum Belle, Heureuse et en pleine Santé, un défi de deux fois 90 jours, pour guérir de la myasthénie ou, du moins, dans un premier temps, éradiquer le thymome sans chirurgie.

Oui, je l’avoue, à cette époque je ne pensais vraiment pas que, quatre ans plus tard, je serais toujours en route sur mon chemin de guérison ! A bien y réfléchir, je me dis qu’heureusement que je n’avais alors aucune idée du temps que cela prendrait, car j’aurais peut-être été découragée avant même de commencer.

Car une chose est sûre, en 2011, même si je vivais déjà très bien le fait d’être tombée malade, j’avais bien conscience que c’était parce que j’étais sûre que je n’aurais pas à supporter ces symptômes pendant vingt ans !

Bref, toujours est-il que, pendant les premières années, je ne vivais que guérison. Je mangeais guérison, je méditais guérison, je lisais guérison, je parlais guérison, je planifiais guérison. Et je ne dis pas que c’était une mauvaise chose en soi : c’est ce qui, j’en suis sûre, m’a permis de suivre les bonnes pistes, d’étudier la physiologie, de modifier mon alimentation, d’approfondir la notion d’énergies etc. car je pense que, pour guérir, il faut vouloir guérir et croire en la guérison. Surtout que si je focalisais sur la guérison, ce n’était pas en réaction à une situation de maladie que je ne supportais pas. Non, j’ai vraiment accueilli la maladie avec gratitude (j’y ai peut-être même trouvé trop de points positifs, d’ailleurs, ce qui peut peut-être être « dangereux » aussi)

Pourtant, depuis plus d’un an maintenant, je ne vise plus la guérison !

Ai-je baissé les bras ? Ai-je pris conscience du fait qu’une maladie incurable ne peut pas se guérir ? Me suis-je rendue à l’évidence devant la difficulté de la tâche à accomplir ? Ai-je finalement trouvé plus facile et confortable de rester malade ?

Non ! Rien de tout cela. Je pense d’ailleurs toujours que je serai, un jour, complètement guérie. Mais la guérison n’est plus mon objectif principal et obsessionnel. Guérir ne sera que la conséquence directe de ma reconnexion à qui je suis vraiment.

Si, entre 2011 et 2014, j’ai suivi plusieurs pistes (qu’il m’était d’ailleurs indispensables d’exploiter, au regard de mon chemin de vie), ma toute première intuition – le jour même de mon hospitalisation, alors que je recevais à peine le diagnostic – a été qu’il me fallait renouer avec mon vrai moi et vivre ma vraie vie. Ça ne s’invente pas ! Et pour être totalement honnête, je dirais que je savais tout cela avant même de tomber malade. Je crois qu’à ce moment de ma vie, il ne pouvait pas en être autrement, il ne pouvait pas m’arriver MIEUX que la maladie pour reprendre ma vie en main. C’est pour cette raison que j’ai immédiatement considéré cet événement comme une chance. Je le savais au plus profond de moi : je m’étais, au fil des années, enfermée dans une vie qui n’était pas la mienne, et les conséquences, à long terme, ne pouvaient être que désastreuses.

LA GUÉRISON : QU’EST-CE QUE C’EST ?

Depuis l’été 2014, après avoir modifié mon alimentation, après avoir arrêté mon entreprise pour travailler uniquement sur moi, et après avoir amélioré mon environnement pour éliminer au maximum les contraintes et les sources de stress, voilà que je vis petit à petit mon plein éveil spirituel, c’est-à-dire que non seulement je travaille à en savoir toujours plus sur moi, à comprendre qui je suis vraiment, le but de ma vie, ma mission d’âme, mais je fais aussi mon maximum pour (re)devenir celle que je suis censée être.

Et si je disais, dans le titre, que je ne voulais plus guérir, c’est tout simplement parce que je sais (et tout, sur mon chemin, me conforte dans cette idée) que lorsque je serai pleinement en phase avec l’Être que je suis, alors la maladie disparaîtra.

Parce que je pense que la maladie physique n’est, en réalité, qu’un moyen de guérison de l’âme. Je n’ai donc plus besoin de guérir à tout prix, j’ai juste à ÊTRE. A être qui je suis. Mon corps, lui, sait très bien se guérir tout seul !

Alors, vous vous demandez peut-être ce que signifie « être qui je suis » ? Ne suis-je déjà pas moi-même ? Eh bien non ! Aussi incroyable que cela puisse paraître au premier abord, je ne suis pas forcément celle que je suis au plus profond de moi. Et vous savez quoi ? Je pense que la grande majorité des gens sont loin d’être qui ils sont ! Être qui l’on est vraiment, c’est être la personne que l’on avait décidé d’être, au moment où l’on a décidé de venir s’incarner sur terre dans ce corps physique. C’est suivre le chemin que l’on avait envisagé. C’est exprimer pleinement le potentiel dont on avait décidé de se pourvoir, afin de réussir notre mission. C’est travailler les points que l’on avait décidé d’améliorer, afin d’évoluer toujours plus…

En écrivant ces lignes, je réalise à quel point tout se déroule toujours parfaitement dans un timing parfait et, surtout, propre à chacun. En effet, si, en 2011, je n’avais d’emblée fixé mon attention que sur le fait de devenir qui je suis, il est probable que je n’aurais pas su par quoi commencer ! Si je sentais qu’il fallait que je suive mes intuitions et envies, je n’aurais peut-être jamais été prête à franchir certaines étapes qui, quatre ans plus tard, me paraissent finalement naturelles.

Si, à première vue, vous avez un peu de mal avec ces notions, je vous invite à ne pas manquer la sortie prochaine de l'eMag n°3, entièrement consacré au thème crucial "QUI ÊTES-VOUS VRAIMENT ?".
Si, à première vue, vous avez un peu de mal avec ces notions, je vous invite à ne pas manquer la sortie prochaine de l’eMag n°3, entièrement consacré au thème crucial « QUI ÊTES-VOUS VRAIMENT ? ».

Arrivée à l’été 2014, les choses s’étant mises en place petit à petit, j’étais alors tout à fait prête à accueillir les différents outils qui allaient m’en apprendre davantage sur ce que je suis venue faire sur cette Terre, sur mes défis, mes buts principaux, mes leçons à apprendre.

C’est avec la méthode Chrysalide que j’ai vraiment commencé à réaliser, à assimiler concrètement l’idée que « Nathalie » n’était finalement que le véhicule utilisé par mon âme, pour vivre son (une de ses) expérience(s) terrestre(s) d’évolution. J’y ai eu un aperçu de mon karma, des points que j’étais venue travailler dans chacun des domaines de la vie.

Suite à ces premières révélations, je ne pouvais pas en rester là, j’ai donc testé d’autres choses. Je trouve vraiment passionnant, excitant et super enrichissant de réaliser concrètement que rien n’est hasard et que tellement de choses ont été décidées par NOUS-MÊMES, avant même notre naissance ! Mais ce que je trouve également intéressant en multipliant les « sources » d’informations c’est de pouvoir valider leur efficacité en constatant que si, certes, elles se complètent les unes les autres m’amenant à une connaissance de plus en plus approfondie de moi-même, elles finissent surtout toujours par toutes se recouper et me renvoyer vers la même chose, ne laissant aucune place au doute et au scepticisme !

PETIT A PETIT, JE DEVIENS PLEINEMENT QUI JE SUIS VRAIMENT

En réalité, nous savons tous, au fond de nous, qui nous sommes réellement. On s’en souvient « intuitivement », lorsqu’on se sent attiré par telle chose ou telle voie, qu’elle soit professionnelle ou non. Nos désirs et nos passions sont loin d’être anodins et ne devraient pas être mis de côté au profit de la raison mais devraient, au contraire, être des signes – comme les petits cailloux du Petit Poucet – nous menant vers le souvenir de notre vraie nature.

Ainsi, plutôt que de vraies révélations, les différents outils que j’ai utilisés et explorés depuis plus d’un an pour me connaître davantage (et dont je vous parlerai plus spécifiquement dans les semaines qui viennent) m’ont surtout apporté des confirmations de mes intuitions et ressentis.

J’ai la fâcheuse tendance au manque de confiance en moi, ce qui fait que j’ai souvent besoin de l’approbation extérieure ou du moins de la confirmation que ce que je ressens est juste, valable. En effet, on ne nous apprend pas à nous fier à nos ressentis, bien au contraire. Difficile alors, au fil des années, de leur faire confiance à 100 %.

Soyez simplement vous-même !
Soyez simplement vous-même !

Ces différents outils « extérieurs » dont je me suis servie m’ont ainsi confirmé que j’étais dans la bonne direction, d’autant plus que – bien évidemment – les informations qui m’ont été révélées se recoupent entre elles, se complètent, valident certaines théories (et notamment les infos reçues via la méthode Chrysalide) et viennent appuyer mes propres intuitions de toujours, apportant, de fait, une certaine crédibilité à toutes ces méthodes ou « sciences ».

Ainsi, mon chemin de vie (qui est le 22 en numérologie, mais nous en reparlerons prochainement) est un chemin de vie qui permet la réalisation de grands projets, qui peuvent être réalisés à l’échelle universelle, mais à condition de faire abstraction de tout intérêt personnel. Or, dans la mesure où je ne suis pas née avec toutes les qualités pour réussir ce chemin, il me faut donc, au cours de ma vie, acquérir certaines caractéristiques manquantes. Ainsi, l’amour du travail, la stabilité, le sens de la coopération, la prise de responsabilité, la stabilité, le respect des engagements, la patience, l’organisation etc. sont autant de choses que je suis venue apprendre en m’incarnant sur Terre en tant que Nathalie. Et comme tout est parfaitement orchestré, la Vie se charge de nous mettre face à des situations qui nous donnent justement l’occasion de travailler ces points… quand toutefois nous ne faisons pas notre tête de lard 😉

Bien évidemment, à lire comme ça, cela ne vous paraît peut-être pas spectaculaire. mais quand ce sont des informations qui VOUS correspondent et viennent donc entrer en résonance avec des choses que vous ressentiez, ou des difficultés que vous rencontriez justement depuis (à peu près) toujours, cela prend tout son sens… et toute son importance ! J’ai réalisé que, par rapport à mes désirs, mes besoins voire mes difficultés, rien de tout ceci n’était un hasard, et vous ne pouvez pas savoir le bien fou que cela fait. C’est comme si un voile se levait, comme si tout devenait clair.

Comme le mentionnait David Mogiel dans notre entretien de mai 2015, nous choisissons, avant même de nous incarner, quel sera notre prénom, quelle sera notre date de naissance etc. En effet, chaque chiffre, chaque nombre ayant une vibration qui lui est propre, ces choix nous assurent ainsi d’être dotés de traits de caractère, d’aptitudes nous permettant de mener à bien la mission d’incarnation que nous nous sommes fixée. Je vous parlerai bientôt en détail de ces différents outils, comme l’étude numérologique, mais le but ici est de vous montrer le genre d’informations précieuses qu’il est possible, grâce à ces outils, d’obtenir sur « vous en tant qu’âme ». C’est un peu comme disposer d’un plan de route de votre incarnation… et lorsque l’on sait qui on est et où l’on va, tout est bien plus simple.

Ces outils permettent de comprendre quelle est notre destination, quelles sont nos lacunes à travailler, nos qualités à acquérir, pourquoi nous nous retrouvons parfois dans des situations difficiles ou pourquoi nous attirons toujours à nous le même type de personnes dans notre vie… Ils sont une aide pour nous guider sur le bon chemin (chemin dont on avait, en général, déjà l’intuition) même si, bien évidemment, nous avons toujours le libre arbitre de l’ignorer et de n’en faire qu’à notre tête en suivant un chemin complètement différent.

Je sais, par exemple, que mon Moi intime réclame de la communication, des contacts, une vie sociale active, de la créativité… ce dont j’ai toujours eu envie, tout en m’isolant de plus en plus depuis quelques années. Je sais que je dois être dans la gestion de l’ego et accomplir des choses qui vont au-delà de mes intérêts personnels… Je sais que je suis censée développer la guérison, pas seulement la mienne au travers de la maladie dont je souffre actuellement, mais aussi la guérison des autres.

J’ai appris que, pour suivre correctement mon chemin, je dois m’aider de mes ressentis et ne faire les choses QUE si cela vibre pour moi. Si je sors de ce schéma, dans lequel je suis guidée vers ce qui est bon pour moi, je ne suis alors plus protégée par mon système énergétique et deviens « à la merci » des énergies négatives qui m’entourent (je vais développer tout cet aspect dans mon prochain article). Je sais aussi, maintenant, que je suis censée exprimer ma créativité, notamment à travers l’écriture et – pourquoi pas ? – « laisser une trace ».

Je sais que ma mission de vie principale consiste à équilibrer ma spiritualité dans le domaine matériel. Je sais que ma destinée est de tester, valider puis d’expliquer les choses. Il m’est aussi demandé de ne pas hésiter à partager mes connaissances, mes acquis, mes prises de conscience afin de permettre à l’autre d’ouvrir sa conscience vers le développement de ses propres aptitudesEt là vous comprenez bien que, lorsque je me rends compte que c’est pile poil mon ambition, je jubile de me savoir à tel point alignée avec ma mission. Comme quoi, même sans tous ces outils de confirmation, quand on suit juste son cœur, on ne peut qu’être sur son chemin !

Voilà, ce sont des petits bouts de révélations de tout ce que j’ai appris sur moi, jusqu’à ce jour. Comme je le disais plus haut, cela ne vous paraît peut-être rien, comme ça, en me lisant. Mais quand cela vient vous conforter dans vos ressentis et dans le chemin d’évolution et de transformation que vous avez entrepris, c’est quelque chose de très émouvant. Parce que, finalement, en ce qui me concerne, absolument toutes les pistes pour lesquelles je vibre et ressens de l’attirance ou qui « me tombent dessus » vont toujours dans le même sens, me délivrent le même message : la guérison du corps découle de la guérison de l’âme. Et guérir son âme, c’est aussi devenir qui l’on est vraiment.

Alors, vous comprenez bien que, si dès le début, j’ai considéré la maladie comme une chance à bien des points de vue, j’étais en réalité bien loin de me douter, en août 2011, que le chemin allait être aussi passionnant ! Aujourd’hui je n’ai plus aucun doute possible sur le fait que la maladie fait partie de mon chemin d’évolution et qu’il ne faut jamais la considérer comme une malchance à subir. La boucle se boucle au fur et à mesure que j’apprends à me libérer et à devenir MOI. Je ne cherche plus les outils visant à améliorer ma santé. J’accueille juste sereinement les étapes de la vie, qui me guident sur le bon chemin.

Mon souhait, à travers ce type de partages, où parfois je dévoile des éléments très personnels sur mon parcours ou sur l’essence de mon âme, n’est pas de « me dévoiler pour me dévoiler » (parce qu’au contraire, j’ai plutôt une tendance à être secrète), mais de pouvoir vous apporter quelque chose, de vous transmettre comme message que vous n’avez pas besoin de souffrir dans votre vie ou dans votre corps, que vous n’avez pas besoin de passer par un chemin difficile, pour prendre conscience de cela et pour devenir, VOUS AUSSI, la personne que vous êtes vraiment ! Et si vous souffrez actuellement, que ce n’est pas une punition inéluctable mais « juste » une opportunité que vous offre la Vie de prendre conscience de votre vraie nature et d’éventuellement entamer un chemin de transformation…

9 commentaires

  • Merci Nath pour cet article .
    Comme tu le dis , les points que tu évoques ne resonnent pas forcément en moi, mais je (re)prend conscience des « hasards » qui n’en sont pas , des problemes qui me permettent d’en apprendre plus sur moi, sur ce dont je dois travailler et sur ce qui me fait vibrer 🙂
    Alors merci !

    Et puis, en ce qui concerne la guerison , je suis d’accord avec le fait qu’il faut eviter de focaliser dessus , car quand on dit « je veux guerir » , l’univers entend « je suis malade » …. 😉
    Sois juste toi, fais ce qui te fait vibrer au plus profond de toi, ce qui t’excite, ce qui te donne des ailles 🙂 A plus dans l’bus (ou sur le fofo ^^ )

    • Coucou Marie !

      Et puis, en ce qui concerne la guerison , je suis d’accord avec le fait qu’il faut eviter de focaliser dessus , car quand on dit « je veux guerir » , l’univers entend « je suis malade »

      Oui disons que je pensais guérison comme résultat final et ne pensais pas du tout aux symptômes, inconvénients etc. bref à l’aspect négatif. Mais effectivement, au bout d’un moment, si je fais de la guérison une obsession, c’est que j’admets être malade, dans un sens ! Pas facile de trouver le bon équilibre.

      Et surtout, ça met une sorte de pression du résultat : je veux guérir, je veux guérir, il n’y a plus que ça qui compte et on risque de passer à côté de certains moments de la vie, juste parce qu’on a trop focalisé sur un objectif qui s’avère être finalement juste une conséquence d’un autre objectif : être soi.

      Mais comme je disais, je ne regrette pas et je pense que ça faisait partie du cheminement normal. parce que si, dès le départ, je n’avais pas focalisé sur la guérison, je n’aurais peut-être pas trouvé toutes les pistes qui la rendront possible 😉

      Merci pour ton message et, yes, à plus dans l’bus lol

  • En te lisant je repense à la discussion que j’ai eue pas plus tard que la semaine dernière avec un patient atteint d’une sclérose en plaques et qui m’a dit : j’ai accueilli cette maladie comme une bénédiction car je prenais un mauvais chemin. Elle m’a fait comprendre que la vie avec la maladie était un challenge à surmonter et que les meilleures armes étaient son propre mental et sa détermination à lutter ce qui impliquer d’avoir une belle vision de soi, d’avoir foi en ces capacités, de s’écouter et accepter les moments de faiblesse mais ne pas baisser les bras. Il m’a énormément émue et attendrie. Une belle leçon de vie comme la tienne.

    • Merci Carole pour ce partage !

      j’ai accueilli cette maladie comme une bénédiction car je prenais un mauvais chemin

      Et je crois que, même si ça vient par la suite et que ce n’est pas instantané, beaucoup de gens qui ont une maladie grave, même plutôt qui met leur vie en danger, comme un cancer, finissent par penser
      Alors souvent, c’est quand la maladie est derrière eux qu’ils peuvent, avec le recul, prendre conscience que c’était finalement une grande chance. Mais comme ton patient, ça a été une évidence pour moi dès le début. Dès lors, même pas besoin de courage, on sait juste, malgré les difficultés, que c’est la meilleure chose qui pouvait nous arriver 🙂

      Bisous, à bientôt !!!

  • Bonjour
    C’est très intéressant, merci.
    Comment en savoir plus sur qui on est si on ne le sent pas dans son coeur ?

    • Bonjour Mylène

      Comment en savoir plus sur qui on est si on ne le sent pas dans son coeur ?

      C’est là que peuvent intervenir les fameux « outils » auxquels je fais référence.
      Je me dis que quand on en arrive là sur son chemin, à prendre conscience qu’on est bien plus que ce qu’on croit être, et bien plus qu’un corps physique etc., c’est qu’on a commencé à prêter davantage attention à ce que l’on ressent, à nos intuitions, nos ressentis.
      Mais si tu ne te fais pas encore assez confiance et si tu as besoin de confirmation, alors tu peux faire appel à certains outils comme je l’ai fait.
      Je peux t’en donner quelques uns, bien sûr, mais peut-être aussi que d’autres viendront sur ton chemin et te parleront davantage ?

      Il y a, par exemple, la numérologie, l’astrologie, le design humain, l’hypnose, la lecture d’âme ou d’annales akashiques par un medium etc. (je vais parler très bientôt de ceux que j’ai testés)

      A bientôt 😉

  • Merci pour cet article très intéressant Nathalie. Pour le coup j’ai eu la même réflexion que Marie dès que j’ai lu le titre (penser guérison est penser à la maladie). C’est toute ta vie qui a été chamboulée et il y a une bonne raison à tout cela.

    J’ai hâte de lire le mag pour m’éclairer sur la question :  » Qui suis-je, où vais-je… » que je me pose toujours et depuis des années.

  • Nathalie je découvre votre site et je suis subjuguée par votre récit.

    Je suis moi même en pleine quête « existentielle »…je me forme au design humain et en recherchant sur Google quelques infos je suis arrivée ici….pas de hasard lol

    Énormes bisous

  • MA PRIERE PERSO… NUITS ET JOURS….

    4X…. TOUT MON MONDE GUERIT….

    4X…. TOUT MON UNIVERS GUERIT….

    METHODE COUE DETACHEE…. QUI ME REND TRES HEUREUX….

    ACTION….. SPIRITUELLLE….
    CAR UN PEU SUBTILE…..
    PARLER SEULEMENT….

    MAIS EFFICACE…..
    POUR TOUT CE QUI EST EN NOUS….
    FAMILLE RELATIONS MONDE VIA LES MEDIAS….
    ET T ESSAIERAS….

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